
Mars022024
Fléchis !
Voilà. On est là. C’est comment?
9h28. On y va. 31 degrés, ressenti 35. On est là. Sous l’oranger.
Début du stage.
Le soleil. La musique. Les douns. Les djembés. On est là.
9h30. Échauffement.
La chaleur qui t’accueille là.
Tu tiens. Tu bois. C’est comment ? Allez ! On s’abaisse.
On danse pas debout ici là !
On s’abaisse.
Zeann’! Wo!
Liaaa, Valééé, Azélin’, Marie, Yoann ! C’est comment ? On y va ! Il fait chaud ! Fléchis !
C’est la collance.
10h03 on fait la pause. Il est quelle heure? On reprend à… dans 6 min. A 10h09.
On va danser Digba !
C’est la danse de la fête là. C’est la joie. C’est les réjouissances. On est contents.
Si t’es contente, je suis contente.
On est là.
Allez, on reprend. On s’abaisse. Fléchis, fléchis, fléchis. Faut aller chercher la chicote ou quoi ? On recommence. En bas. On s’abaisse. On reprend. Faut pas hésiter là !
Ozouo ozou
Mooma didizom Alé
Momamiléo uilé
Ozouo ozou
Mooma didizom Alé
Momamiléo uilé
Allez! On va reprendre la bête noire. On va la manger là.
Viens-là, viens-là, viens-là! 6!7! A droite !
On recommence.
Viens-là. Tu sors les bras ! Tu sors les bras !
On appelle pas tout petit ! Comment t’appelles ton père là ?
6 ! 7 ! A DROITE !
Tu t’en fous, tu t’en fous, tu t’en fous. Tu donnes !
Viens-là, viens-là, viens-là! A gauche ! Encore ! 6 ! 7 ! A GAUCHE ! Gauche, gauche, tu donnes.
On va faire au vrai rythme. C’est cassé là.
Ah, ah! Ça rigole là. C’est pas assez fatigué ! On continue ! On s’abaisse ! Fléchis, fléchis, fléchis.
C’est le pas pour se reposer là. Tu fléchis quand même. C’est pour la position. Pour s’habituer.
Bissap glacé !!!
J’ai pas dit de s’arrêter pour boire là ! On reprend. On s’assoit pas !
Recommence.
Tu souris ! Tu donnes.
Et 1 ! 2 ! 3 ! 4 ! 5 ! 6 ! 7 ! 8 ! Tu tournes. En bas. Bam bam !
Elle est où l’énergie là ?
On reprend.
11h12 on fait la pause. On reprend dans 8 min. Et on s’arrête pas là.
Le soleil. La musique. Les douns. Les djembés. On est là. Le soleil. Il fait chaud. On est bien là.
Ozouo ozou!
« Quand tu danses il faut pas qu’on voit ton corps il faut qu’on voit ton âme. »
Germaine Acogny